13 décembre 2017
HOLAPPA Pentti, Je ne vois personne, à perte de vue
Il est l’écrivain du doute, de la fable de la pluie comme de la déraison :
Je ne vois personne, à perte de vue
Et déraisonnable je suis :
grand ouvert mon cœur est prêt
à suivre la première ombre qui passe. (Après-midi tourmenté)
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/holappa/holappa.html#3
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